2025 ! Alors, heureux ?

Une chance, une vraie chance, chaque année, de pouvoir se dire que les meilleures choses ont un début : les bonnes résolutions (celles qu’on tiendra, celles qu’on tiendra … un mois), les nouveaux projets (les bons, les foireux), les belles rencontres (les fructueuses, les toxiques) et les contrats (ceux qu’on gagnera, ceux que d’autres gagneront). Un territoire vierge s’offre à nous !

Leucosélidophobie !
C’est le syndrome de la page blanche, bien connues de ceux qui comme moi sont rémunérés pour recycler les idées des autres en faisant croire à nos clients que ce sont les leurs.
C’est beau une page blanche, légère comme une feuille et lourde de promesses … Parce qu’en fait, on a tellement à raconter, tellement à faire, tellement à prouver …

De bonnes raisons d’y croire
On sait à peu près où on veut aller. Moins comment y parvenir, ce qui est une chance car « faire le chemin est toujours plus excitant qu’être arrivé à bon porc » (Justin Bridou).
En 2024, on a eu les JO, Notre Dame, mais aussi l’Ukraine et le Moyen-Orient … En 2025, tout peut arriver et une année qui commence par un mercredi, le jour des enfants, ne peut pas être totalement ratée.

A nous de choisir …
On peut avoir peur ou y croire …
Alors morose ? C’est un choix difficile, un peu honteux, il faudra assumer de se morfondre …
Heureux plutôt ? Si le choix est facile, la réalisation est plus complexe et oblige à se prendre en main.

Revenons à notre page blanche
Chaque début d’année, tout recommence. Vous avez adoré Un jour sans fin, dans lequel Bill Murray, bloqué dans une boucle temporelle, revit sans cesse la même journée (avec Andy McDowell, ce qui aurait pu l’inciter à s’en contenter !).
La morale du film est de transformer une malédiction en bénédiction. J’ajouterais, faire de chaque jour une chance.

Alors qu’est-ce qu’on décide ?
Qu’est-ce qu’on risque ? D’être déçu ? De réussir, même imparfaitement ? D’échouer, même en beauté ?
Chaque début d’année est un nouveau départ, une période bénie où s’échafaudent les stratégies, se concentrent les désirs et appareillent les navires pour le Nouveau Monde …

Belle année, pleine de joie et de douceur, avec et sans S !

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