L’art de se faire la malle, de Louis Vuitton à Carlos Ghosn …

On pouvait imaginer leur rencontre dans une Nissan série spéciale Louis Vuitton tout cuir. Carlos Ghosn a préféré quitter le Japon en caisse, quoi de plus normal pour un constructeur automobile !

Pris la main dans le sac
En 1854, Louis Vuitton arrive à Paris et ouvre et crée la marque qui porte son nom. En 2012, Carlos Ghosn dépense plus de 20 000 dollars dans ses boutiques, puis 9 000 dollars en 2013.
Autant d’achats payés avec la carte bleue de Nissan que le franco-libano-brésilo-pseudo-escroc a pris l’habitude de faire briller chez les joailliers et maroquiniers français, selon un article de l’Express.

Carlos et son orchestre
Après un séjour au violon, il joue la fille de l’air dans une grosse caisse, et quitte le Japon sans tambour ni trompette.
Après s’être fait coffrer puis libérer il ne restait plus qu’à organiser sa fuite. Même s’il l’a orchestré tout seul, Carlos Ghosn a, semble-t-il, bénéficié de l’appui logistique d’anciens barbouzes qui ont mis sa partition en musique.

L’iban, synonyme de liberté
Carlos Ghosn n’en a pas fini de passer à la caisse, le prix de sa liberté ayant été chiffré à plusieurs millions d’euros.
Après une conférence de presse qui lui permet de revenir en fanfare sur le devant de la scène, quel avenir pour Carlos Ghosn ? Monter un boys band ou développer une voiture qui vole ? Le feuilleton connaîtra sûrement d’autres ré-percussions …

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