Deux solutions. La première : ne pas bosser … Vous trouverez bien quelque chose d’autre à faire !
La seconde ? Imaginez que vous vous débarrasser de tout le stress, la culpabilité et la frustration engendrés par cette procrastination … Vous avez vraiment envie de savoir ?
Voici 3 recettes, en fonction de la raison qui nous pousse à encore remettre à demain …
1/ Nous avons peur d’échouer
La solution : adoptons un tropisme préventif. Il existe deux manières d’envisager n’importe quelle tâche :
– Atteindre une meilleure situation que celle dans laquelle nous nous trouvons : nous sommes motivés par l’idée de faire des progrès et ne travaillons jamais aussi bien que dans cet état d’esprit optimiste et plein d’entrain.
– Nous accrocher à ce que nous avons déjà avec la peur de le perdre : se mettre au travail devient un moyen de ne pas décevoir l’autre.
Etre angoissé par ce qui pourrait mal se passer renforce la motivation. Agir immédiatement devient la seule solution pour maintenir le danger à distance. Filons-nous la frousse ! C’est une sensation atroce, mais ça marche …
2/ Nous n’avons pas envie
La solution : ignorons nos émotions, elles se mettent en travers de notre route (c’est le théorème de Monsieur Spock).
Le refus d’obstacle, c’est que nous n’arrivons pas à avoir envie de faire quelque chose. Physiquement, rien ne nous en empêche mais c’est juste que nous n’en avons pas envie.
Or il n’est pas nécessaire d’en « avoir envie ».
Il suffit d’être dévoué à sa tâche, vouloir voir le projet terminé pour être motivé et efficace. Rien ne doit nous bloquer !
Parc exemple, des artistes, écrivains, entrepreneurs débordent d’activité en mettant en place des routines de travail qui les forcent à travailler un certain nombre d’heures par jour, qu’ils soient inspirés ou non.
3/ La tâche est ennuyeuse, difficile ou déplaisante
La solution : suivons un plan « si – alors » : au lieu de résoudre un problème par notre simple volonté, acceptons le fait que la volonté a ses limites et qu’on ne peut pas toujours relever tous le défis, surtout si ce que nous avons à faire est pénible.
Le plan, c’est de définir l’endroit et le moment où travailler et les étapes spécifiques à réaliser pour mener notre projet à son terme.
Décider à l’avance de ce que nous allons faire précisément ne laisse pas de place à la réflexion le moment venu. Le plan réduit considérablement les exigences placées sur notre volonté car il permet de prendre la bonne décision bien en amont du moment crucial. La planification « si – alors » augmente le taux d’objectifs remplis de 200 à 300 % en moyenne.
Certes ces 3 stratégies sont mois fun que des conseils comme « suivons notre passion » ou « restons positifs » mais elles ont l’incontestable avantage d’être efficaces.
Comme nous lorsque nous les mettons en œuvre.