Mais à Digital City, pendant que ma Blonde touillait mon café avec son fume cigarette, les computers continuaient à tomber comme des femmes dans le livre de Desproges. La radio diffusait “Apocalypse” du groupe “Cigarettes after Sex” et vaporisait des particules de tendresse et de méfiance.
La Blonde glissa ses bras autour de mon cou et se décida à me mettre capiteusement au parfum. Elle devait avoir des choses à se faire pardonner. Mais cela ne fit qu’empirer.
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