Quand l’accélération et la complexité des événements se doublent d’une multiplicité croissante des acteurs, internes et externes, comment croire qu’un seul chef, une seule autorité, puisse allier judicieusement la vision globale et la précision du terrain, gérer simultanément un nombre grandissant de sujets, avec une vitesse d’exécution maximale ?
L’efficacité du commandement se situe aujourd’hui dans un équilibre solidaire, un ajustement permanent entre l’amont et l’aval d’une organisation.